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La Pollution de l'Air
FEVRIER 2024
21 FEVRIER 2024 : Directive sur la qualité de l'air - un accord pollué par de nombreuses dérogations
Comme le craignaient plusieurs associations environnementales (l'Association Santé Environnement France (Asef), Respire, France Nature Environnement ou le Réseau Action Climat), soucieuses de réduire le nombre de morts prématurées liées à la pollution atmosphérique, les négociations sur la nouvelle directive sur la qualité de l'air se sont achevées par un accord relativement moins disant entre le Conseil et le Parlement européens, mardi 20 février, à Bruxelles.
Finalement, le seuil de pollution à ne pas dépasser sera fixé
- à 10 µg/m³ pour les particules fines PM2,5, particulièrement impactantes, au lieu des 5 μg/m³ préconisés par l'OMS. Il est actuellement de 20 μg/m³.
- Pour le dioxyde d'azote (NO2), il sera de 20 µg/m³, contre 10 µg/m³ pour l'OMS et 40 µg/m³ aujourd'hui dans l'UE.
Ces normes seront réexaminées fin 2030 ... ou pas ...
Les États membres auront ainsi la possibilité de demander un report jusqu'en 2040 « pour des raisons spécifiques et dans des conditions strictes », notamment dans le cas d'un climat ou d'un relief défavorable et si l'impact sur les systèmes de chauffage domestique existants s'avère significatif. Un décalage jusqu'en 2035 sera également envisageable, avec une prolongation éventuelle de deux années supplémentaires, « si les projections montrent que les valeurs limites ne peuvent être atteintes avant la date limite de réalisation ».
08 FEVRIER 2024 : Pollution de l'air - la Commission européenne met de nouveau la France en demeure
La Commission européenne a annoncé, le 7 février, avoir adressé à la France une nouvelle lettre de mise en demeure pour non-respect de la directive de 2008 sur la qualité de l'air ambiant. Elle lui donne cette fois-ci un délai de deux mois pour y répondre et rectifier le tir, sous peine d'être visée par un avis motivé qui l'ouvrirait à des conséquences judiciaires.
Lire l'article d'actu-environnement sur le sujet
JUIN 2023
20 JUIN 2023 : L’Etat condamné pour la première fois à indemniser des victimes de la pollution de l’air
Le tribunal administratif de Paris a condamné l’Etat à verser 3 000 euros et 2 000 euros aux parents de deux enfants ayant souffert de bronchiolites et d’otites à répétition en lien avec des pics de pollution en région parisienne (décisions rendues vendredi 16 juin 2023).
« C’est la première fois en France, et sans doute en Europe, que la justice reconnaît un préjudice en lien avec une carence de l’Etat à garantir un air sain et qu’elle demande sa réparation », commentent Hermine Baron et François Lafforgue, les avocats des familles. Jusqu’ici, la responsabilité de l’Etat avait certes été engagée dans des dossiers similaires, notamment dans celui de la très polluée vallée de l’Arve (Haute-Savoie), mais le lien de causalité entre la faute de l’Etat et les maladies des plaignants n’avait jamais été établi.
Selon Santé publique France, 40 000 décès prématurés par an sont causés par la pollution de l'air extérieur.
C'est plus que la consommation d'alcool et les accidents de la route.
A lire aussi : https://www.francetvinfo.fr/monde/environnement/crise-climatique/pollution-air/une-decision-exemplaire-et-qui-fera-date-l-etatcondamne-pour-la-premiere-fois-a-indemniser-des-victimes-de-la-pollution-de-l-air_5899646.html
DECEMBRE 2022
29 DECEMBRE 2022 : Air intérieur - De nouvelles mesures pour réduire la pollution dans les établissements accueillant un jeune public
Fréquence des mesures, modalités, valeurs-guides… Le ministère de la Transition énergique s'est livré à une vaste remise à plat des actions à mener pour réduire la pollution au sein des établissements accueillant enfants et adolescents. Ce nouveau dispositif avait fait l'objet d'une consultation publique en février 2022 à laquelle l'association avait participé (voir notre publication en date du 26 février 2022).
Des actions préventives régulières, une meilleure information des usagers mais toujours des insuffisances :
- un nombre toujours trop restreint des polluants considérés qui exclut métaux lourds, pesticides, composés organiques volatils, particules fines
- le nécessaire encadrement de la qualité des matériaux utilisés dans les établissements qui accueillent des enfants, n'est toujours pas abordé ...
Consulter le Decret no 2022 1689 du 27 decembre 2022
Consulter le Decret no 2022 1690 du 27 decembre 2022 modifiant le decret no 2012 14 du 5 janvier 2012
Consulter l'Arrete du 27 decembre 2022 modifiant l arrete du 1er juin 2016
Lire l'article d'actu environnement du 29 décembre 2022 sur le sujet
OCTOBRE 2022
27 OCTOBRE 2022 : Europe - la révision des normes de qualité de l'air débute
Des progrès en perspective mais insuffisants sur certains points : Des normes qui se rapprochent des recommandations de l'OMS mais qui ne s’y alignent malheureusement pas totalement.
Les seuils proposés de particules fines PM2,5 ou de dioxyde d'azote sont deux fois plus élevés que les recommandations de l'OMS mises à jour en septembre 2021 ...
Lire l'article d'Actu-Environnement sur le sujet
17 OCTOBRE 2022 : Pollution de l'air - l'État condamné à payer 20 millions d'euros d'astreinte
Le Conseil d’État a été saisi par plusieurs associations de défense de l’environnement en 2017. Il avait ordonné à l’État "de mettre en œuvre des plans pour réduire les concentrations de dioxyde d'azote et de particules fines dans treize zones en France, afin de respecter la directive européenne sur la qualité de l'air" dès cette année-là.
Trois ans après, en 2020, il avait jugé que les mesures prises étaient "insuffisantes" et avait donc condamné l’État à agir, sans quoi il devrait payer une astreinte de dix millions d'euros par semestre de retard.
Encore un an plus tard, les lenteurs de la réaction de l’État avaient poussé le Conseil d'Etat à le condamner à payer une première astreinte en août 2021, pour le retard du premier semestre 2021. S'y ajoutent donc, ce lundi, les deux nouvelles astreintes, pour les retards du deuxième semestre 2021 et premier semestre 2022.
Lire l'article d'Actu Environnement paru le 17 octobre sur le sujet
08 OCTOBRE 2022 : Cancer du sein - la pollution de l'air est un facteur aggravant
Selon l'étude Xenair menée par le Centre lyonnais de lutte contre le cancer Léon-Bérard entre 2017 et 2022, et présentée le lundi 3 octobre, les risques augmentent en cas d'exposition à faibles doses mais chroniques, à cinq polluants : le dioxyde d'azote, les particules PM10 et PM2.5 ainsi que le benzo[a]pyrène et le polychlorobiphényle.
Cette étude est la première analysant l'effet individuel de ces polluants sur le risque de cancer du sein, via une estimation des expositions des sujets à une échelle géographique fine et pendant vingt-deux ans. Pour en savoir plus :
https://www.centreleonberard.fr/institution/actualites/xenair-des-liens-mis-en-evidence-entre-cancer-du-sein-et-exposition-des-polluants-atmospheriques
SEPTEMBRE 2022
10 SEPTEMBRE 2022 : Pollution de l'air - une nouvelle étude démontre que les particules fines peuvent provoquer un cancer du poumon chez des non-fumeurs !
Cette étude confirme que réduire la pollution de l’air est crucial également pour la santé, insistent plusieurs chercheurs.
« Nous avons le choix de fumer ou non, mais pas de l’air que nous respirons. Comme probablement cinq fois plus de personnes sont exposées à des niveaux malsains de pollution que de tabac, c’est un problème mondial majeur », a lancé le Pr Swanton.
Lire l'article publié par le Huffpost sur le sujet le 10 septembre 2022
MARS 2022
10 MARS 2022 : Pollution de l'air : une étude établit un lien avec la baisse des performances cognitives
Un lien entre la pollution de l'air et de moins bonnes performances cognitives. C'est ce que suggèrent les résultats d'une étude scientifique réalisée par des chercheurs de l'Inserm, de l'université Rennes-I et de l'École des hautes études en santé publique, publiée le 10 mars dans The Lancet Planetary Health.
Lire l'article d'Actu-Environnement sur ce sujet
03 MARS 2022 : Sainte-Pazanne, une analyse de l'air pointe les herbicides
Air Pays de la Loire a suivi les concentrations atmosphériques d'une sélection de pesticides de septembre 2020 à fin août 2021 dans ce bourg de Loire-Atlantique. Cette demande s'inscrit dans un contexte d'inquiétude lié aux cas de cancers pédiatriques dans la commune. Pour ce faire, l'association de surveillance de la qualité de l'air a installé un préleveur en zone habitée à une distance minimale de 200 m de la parcelle traitée la plus proche, conformément aux préconisations nationales.
Lire l'article d'Actu-Environnement sur ce sujet
Consulter le rapport d'Air Pays de la Loire
DECEMBRE 2021
24 DECEMBRE 2021 : Proposition de loi visant à réduire l'exposition de la population à la pollution de l'air
Un projet de loi visant à réduire l’exposition de la population à la pollution de l’air a été déposé par Jean-Luc Fugit, président du Conseil National de l'Air (CNA) et député du Rhône.
Cette proposition de loi poursuit 3 objectifs : intégrer la diminution de l’exposition dans les objectifs de nos politiques publiques d’amélioration de la qualité de l’air ; protéger davantage de la pollution de l’air au travail, à la maison, à l’école, lors d’activités sportives et à l’extérieur ; et permettre l’émergence d’une politique plus transversale impliquant tous les acteurs concernés pour atteindre les objectifs qualité fixés par l’Organisation Mondiale de la Santé.
Pour cela, une douzaine d’articles pour, par exemple, renforcer le recours au télétravail lors des épisodes de pollution, expérimenter la création du diagnostic de performance « qualité de l’air intérieur », repenser l’urbanisme en fonction de la qualité de l’air, ou encore renforcer le rôle du CNA pour en faire un passage obligé de toutes les politiques publiques d’amélioration de la qualité de l’air et lui donner un rôle d’orientation.
On ne sait pas à ce jour si cette proposition de loi Air sera inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée début 2022, et donc effectivement examinée (les travaux de l’assemblée nationale se terminent, pour cette mandature, fin févier 2022), mais ça n’est pas impossible…
Parcourir le texte de la proposition loi
24 DECEMBRE 2021 : Publication d'un dossier sur la qualité de l'air par l'INERIS
L’Ineris est membre du Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l’Air (LCSQA), qui fait parti du dispositif national de surveillance aux côtés de l’Etat et des AASQA et Atmo France.
Il a pour mission de contribuer à la prévention des risques que les activités économiques font peser sur la santé, la sécurité des personnes et des biens, et sur l’environnement.
Travaillant depuis 10 ans sur la qualité de l’air, le dossier souhaite revenir sur l’expertise et les travaux de l’Ineris sur ce domaine. Il est organisé autour de 4 grands thèmes qui ont l’ambition de couvrir la problématique :
- les sources ;
- la pollution de l’air ambiant ;
- les effets sur la santé et les écosystèmes ;
- l’évaluation des stratégies de réduction et leurs impacts économiques.
Le dossier sera mis à jour et enrichi au fil de l’eau et des projets et études que mène l’Institut avec les derniers résultats obtenus.
Accéder au dossier
Pour en savoir plus sur le Conseil National de Surveillance
OCTOBRE 2021
06 OCTOBRE 2021 : Pollution de l'air - L'Anses appelle à suivre les recommandations de l'OMS
Saisie par les pouvoirs publics à la suite d'une proposition de modification des seuils de surveillance de pollution de l'air, l'Anses appelle à les abaisser davantage, pour suivre les nouvelles lignes directrices de l'OMS.
Après analyse de la littérature scientifique la plus récente, l’Anses observe que les risques pour la santé interviennent à des niveaux de concentration en polluants inférieurs aux seuils actuellement en vigueur. L’Agence propose donc de revoir à la baisse les seuils d’information et d’alerte pour garantir une meilleure protection de la santé des populations. Ces seuils devraient se rapprocher des nouvelles valeurs guides pour l’action de court terme publiées récemment par l'OMS qui traduisent de nouvelles connaissances épidémiologiques disponibles.
L’indice européen European Air Quality Index et l’indice ATMO français mériteraient également d’être révisés à l’aune des nouvelles valeurs publiées par l’OMS pour que ces indicateurs servant à l’information des populations reflètent l’état des connaissances en matière de risques sanitaires.
Enfin, l’Anses rappelle que la part la plus importante du fardeau pour la santé de la population est attribuable au niveau moyen de pollution de l’air ambiant et non aux pics de pollution. Elle souligne ainsi le rôle essentiel des politiques publiques pour lutter contre les conséquences néfastes de la pollution de l’air dans la durée.
SEPTEMBRE 2021
23 SEPTEMBRE 2021 : Pollution de l'air - l'OMS durcit les seuils de qualité de l'air
L'Organisation Mondiale de la Santé a adopté de nouvelles recommandations plus strictes en matière de qualité de l'air. Ces nouveaux critères définissant un air « sain » devraient influencer la révision en cours de la réglementation européenne. Mercredi 22 septembre, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a adopté de nouvelles lignes directrices mondiales sur la qualité de l'air et recommande le respect de nouveaux seuils de concentration de polluants atmosphériques plus strictes. Conséquence : la proportion de Français vivant dans une zone dont l'air n'est pas jugé sain selon les critères de l'OMS progresse.
Abaissement des concentrations des principaux polluants
L'OMS explique que depuis la dernière édition de ses lignes directrices mondiales en 2005, « la quantité de données factuelles montrant que la pollution atmosphérique a une incidence sur différents aspects de la santé a sensiblement augmenté ». En conséquence, les seuils de référence de concentrations des principaux polluants atmosphériques ont été révisés, en particulier pour trois polluants critiques en Europe et en France : le dioxyde d'azote (NO2), les particules et l'ozone (O3).
Concrètement, concernant le NO2, la concentration moyenne maximale recommandée sur une année est divisée par quatre, passant de 40 à 10 microgrammes par mètre cube d'air (µg/m3), et un seuil à 25 µg/m3 est créé pour la concentration calculée sur vingt-quatre heures.
S'agissant des particules, les nouveaux seuils recommandés sur vingt-quatre heures sont abaissés de 25 à 15 µg/m3 pour les PM2,5 et de 50 à 45 µg/m3 pour les PM10. La concentration moyenne maximale recommandée sur une année est abaissée de 10 à 5 µg/m3 pour les PM2,5 et de 50 à 45 µg/m3 pour les PM10. En outre, l'OMS rappelle, qu'en 2013, les particules en suspension et la pollution de l'air extérieur ont été classées comme cancérogènes par son Centre international de recherche sur le cancer (Circ).
Quant à l'ozone, il voit son seuil sur huit heures maintenu à 100 µg/m3. Une nouvelle recommandation est créée pour les « pics saisonniers » : l'OMS recommande de ne pas dépasser une concentration moyenne de 60 µg/m3 (calculée à partir de la concentration moyenne quotidienne maximale sur huit heures au cours des six mois consécutifs où la pollution est la plus élevée).
L'OMS prévient que « le dépassement de ces nouveaux seuils relatifs à la qualité de l'air est associé à des risques importants pour la santé alors que le respect de ces seuils pourrait sauver des millions de vies ». Aujourd'hui, rappelle-t-elle, l'exposition à la pollution atmosphérique entraîne sept millions de décès prématurés et la perte de millions d'années de vie en bonne santé chaque année.
MARS 2021
29 MARS 2021 : Méan-Penhoët, l'air des écoles reste plus pollué ... à l'intérieur
Lire l'article paru ce jour dans Ouest France
25 MARS 2021 : Pollution de l'air - le Parlement Européen demande des normes plus strictes et plus protectrices
Les eurosdéputés ont adopté ce jeudi un rapport préconisant d'aligner les valeurs limites d'exposition sur les recommandations de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé).
Ils exortent également la Commission européenne à étendre ces normes à des polluants aujourd'hui non réglementés mais dont les incidences négatives sur la santé et l'environnement sont bien documentées : particules ultrafines (de l'ordre du nanomètre), mercure, amoniac carbone suie (voir article sur ce polluant également ci-dessous).
Pour en savoir plus, lire l'article paru sur le journal le Monde
Ci-dessous, un tableau comparatif entre les normes OMS et les normes françaises et européennes pour les polluants réglementés (source Air Pays de la Loire) :
22 MARS 2021 : Pollution de l'air par le carbone suie - le risque accru de cancer est prouvé !
Les récents travaux de l'Inserm suggèrent pour la première fois qu'une exposition à long terme au carbone suie est aussi associée à un risque accru de cancer, notamment du poumon.
Le carbone suie n’attire l’attention de la communauté scientifique que depuis quelques années. Il est un constituant des particules fines issu de combustions incomplètes d’énergie fossile (notamment liées au trafic routier mais aussi maritime) et de biomasse (bois).
Les Résultats obtenus sur la cohorte suivie (qui regroupe environ 20 000 participants suivis tous les ans depuis 1989) montrent que les personnes les plus exposées au carbone suie présentaient un sur-risque de cancer en général d'environ 20 % par rapport aux personnes les moins exposées. Ce sur-risque était de 30 % en ce qui concerne le cancer du poumon.
Lire l'article d'actu-environnement sur le sujet
Pour en savoir plus sur le carbone suie
Ci-dessous, un extrait du dernier rapport (2019) d'Air Pays de la Loire sur la qualité de l'air dans les Pays de la Loire. Il confirme la nécessité de ne pas se limiter à la surveillance des polluants réglementaires et fait référence au carbone suie :
18 MARS 2021 : Une étude préconise un cadre uniformisé pour mesurer les particules fines PM2.5
"Il faut instaurer de toute urgence, dans plus de la moitié du monde, des normes adéquates de concentration des PM2,5 dans l'air ambiant." Yevgen Nazarenko, associé de recherche à l'Université McGill (Montréal, Canada).
"Les gouvernements et les agences doivent éviter d'utiliser la mesure de la moyenne arithmétique, qui tend à masquer les épisodes de forte pollution réduisant la capacité des gouvernements à identifier et à éliminer les sources de PM2,5."
Pour en savoir plus, lire l'article paru sur actu-environnement
Source de la représentation : Air Pays de la Loire
15 Mars 2021 : Améliorer sérieusement la qualité de l'air - une nécessité !!!
Depuis le début de cette année, les Dongeois(e)s n’ont jamais respiré un air de bonne qualité et doivent se contenter la plupart du temps d’une qualité moyenne, voire dégradée.
La prise en compte des particules fines PM2.5 dans le calcul de l'indice depuis le 04 janvier 2021 apporte des précisions sur la qualité de l'air que nous respirons et ce n'est pas très réjouissant ... (source Air Pays de la Loire)
FEVRIER 2021
09 FEVRIER 2021 : Un décès sur cinq serait dû à la pollution de l’air par les énergies fossiles dans le monde
Grâce à une méthodologie plus précise, des chercheurs d’Harvard pointent un nombre de morts deux fois plus important que les estimations précédentes, y compris en France. Dans notre pays, par exemple, l’estimation du nombre de décès prématurés a doublé par rapport aux précédents chiffres.
Alors que Santé Publique France comptait 48 000 décès attribuables à la pollution de l’air en juin 2016, la nouvelle étude en recense 97 242, soit 17% des morts annuelles françaises. «Et encore, [elle] ne prend pas en compte les autres sources de pollution de l’air, comme les particules fines liées à l’usure des freins et des pneus des véhicules, ou encore aux cheminées», précise le communiqué d’Harvard.
Lire l'article paru dans Libération le 09 février
08 FEVRIER 2021 : Baisse des émissions de CO2 : des « bons » résultats en trompe l'œil ...
Pour y voir plus clair, lire l'article du 08 février paru dans actu-environnement
04 FEVRIER 2021 : Affaire du siècle, une faute de l'État mais pas d'injonction à agir à ce stade !
Les juges reconnaissent l'existence d'un préjudice écologique lié au réchauffement climatique, en intégrant les travaux scientifiques existants en la matière, ainsi qu'une responsabilité de l'État. « À hauteur des engagements qu'il avait pris et qu'il n'a pas respectés dans le cadre du premier budget carbone, l'État doit être regardé comme responsable (…) d'une partie du préjudice écologique constaté », indique le jugement.
Lire l'article d'actu-environnement sur le sujet
04 FEVRIER 2021 : Pollution de l'air - La question du droit à réparation
Les dispositions de la directive du 21 mai 2008 relative à la qualité de l'air ambiant ouvrent-elles aux particuliers un droit à réparation par l'État des préjudices sanitaires présentant un lien de causalité direct et certain avec la pollution ? Si oui, à quelles conditions l'ouverture de ce droit est-il subordonné, notamment quant à la date à laquelle le manquement de l'État doit être apprécié ?
Lire l'article d' actu environnement du 04 février sur ce sujet
JANVIER 2021
11 JANVIER 2021 : Pollution de l'air - des progrès doivent encore être réalisés pour atteindre les objectifs européens
La Commission Européenne a publié vendredi 8 janvier la seconde édition du rapport "Perspectives en matière d'air pur".
La mise en oeuvre intégrale des objectifs fixés par la directive de 2016 concernant la réduction des émissions nationales de certains polluants atmosphériques (dite directive NEC) pourrait réduire d'environ 55 % les décès prématurés dus à la pollution atmosphérique en 2030, par rapport à 2005. Telle est la principale conclusion du deuxième rapport sur les perspectives de la qualité de l'air.
Le rapport estime aussi qu'il serait possible de prendre des mesures supplémentaires, par rapport à celles déjà convenues et annoncées au titre de la législation de l'Union européenne en vigueur.
« Il existe en effet de nombreuses mesures de réduction de la pollution atmosphérique dont les avantages seraient supérieurs aux coûts, si elles étaient correctement mises en oeuvre », explique la Commission. C'est en particulier le cas des mesures de lutte contre la pollution de l'air qui permettent aussi de lutter contre les changements climatiques.
En l'occurrence, la Commission cible les émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre précurseur de polluants atmosphériques.
Consulter le rapport de la Commission Européenne
DECEMBRE 2020
17 DECEMBRE 2020 : La justice britannique reconnaît un lien entre le décès d'une enfant et la pollution de l'air.
Cette reconnaissance constitue une première au Royaume-Uni et peut-être dans le monde. En France, les actions judiciaires en matière de pollution atmosphérique ont rarement abouti, faute de réussir à établir juridiquement les responsabilités.
Lire l'article d'actu environnement du 17 décembre 2020 sur le sujet
NOVEMBRE 2020
30 NOVEMBRE 2020 : Pollution de l'air - La justice reconnaît la faute de l'État dans la vallée de l'Arve, mais ne le condamne pas !
À Saint-Félix-de-Pallières, dans le Gard, une ancienne mine de zinc et de plomb, fermée en 1971, continue à polluer terres et eaux, malgré un début de confinement. Le dossier empoisonne la région depuis des années, dans tous les sens du terme. Au point que ce petit village du Gard est devenu un symbole de l’incurie dans la dépollution des anciens sites miniers en France.
Lire l'article publié par actu environnement le 30 novembre 2020
Lire l'article paru dans le "Midi Libre" le 24 novembre dernier
Pour avoir des informations supplémentaires sur ce sujet : https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/A-Saint-Felix-Pallieres-mine-nen-finit-pas-polluer-2019-01-08-1200993852
OCTOBRE 2020
21 OCTOBRE 2020 : Coût économique de la pollution
Une étude inédite portant sur 432 villes européennes tente d’évaluer les coûts socio-économiques liés à l’exposition aux particules fines, au dioxyde d’azote et à l'ozone.
La pollution de l’air n’est pas seulement à l’origine de dizaines de milliers de décès prématurés chaque année (plus de 400 000 au niveau européen, dont au moins 48 000 en France), elle a aussi un coût économique, tout aussi exorbitant, mais beaucoup moins bien documenté. Selon une étude publiée mercredi 21 octobre, celui-ci dépasserait 166 milliards d’euros par an à l’échelle des principales villes européennes, avec une moyenne d’environ 1 000 euros par habitant. L’ardoise atteindrait 3,5 milliards d’euros pour Paris, avec une moyenne de 1 600 euros par habitant.
En tout cas, c’est ce que calcule une étude inédite réalisée par le cabinet d’audit néerlandais CE Delft pour le compte de l’Alliance européenne de Santé publique (European Public Health Alliance, EPHA) qui regroupe plus de 80 ONG européennes sur le domaine de la santé.
Elle se fonde sur les résultats d’analyse de qualité de l’air de 432 villes (dont 67 en France) sur 2018. Trois principaux polluants ont été pris en compte : les particules fines, le dioxyde d’azote et l’ozone. A chaque polluant sont associés des coûts socio-économiques.
L’étude en a identifié seize : frais médicaux pour traiter des asthmes ou des bronchites chez les enfants, hospitalisations pour des pathologies respiratoires ou cardiaques, baisse de l’espérance de vie, journées de travail perdues… Tous ces impacts sanitaires ont été « monétisés » à partir d’une grille d’évaluation développée par les services de Bruxelles, qui prend en compte la création de richesse au niveau de chaque ville.
15 OCTOBRE 2020 : "Etude de zone" - ADZRP, Association des habitants du village de Gron et VAMP prêtes à se mettre au travail
Nos trois associations saisissent les propos tenus le 09 octobre par le Sous-Préfet : "Les différentes parties prenantes seront associées au pilotage de l'étude. Un courrier commun lui a été adressé ce jour pour demander que chacune de nos associations soit représentée au sein du C.O.S. "Comité d'Orientation Stratégique".
Il est le lieu de la concertation entre les parties prenantes. Le COS garantit la transparence des travaux qu’une charte de fonctionnement peut organiser. Le COS veille à l’adhésion de tous sur le programme de travail. Celui-ci définit la conception et la planification de l’étude. Les prescriptions pour chaque phase y sont déclinées dans des clauses techniques qui précisent le travail à réaliser. Les premiers travaux techniques du COS portent sur l’identification :
- des principaux enjeux humains et environnementaux sur le territoire ;
- des contours de la zone ; cette dernière se caractérise en effet par la proximité de sources de pollution variées et d’enjeux potentiellement exposés dans un espace solidaire. La définition des contours d’une zone est le résultat d’une démarche itérative.
Lire le courrier adressé au Sous-Préfet
12 OCTOBRE 2020 : Etude épidémiologique - des avancées concrètes
En fin de semaine dernière, les informations diffusées ont pu sembler contradictoires et ont amené à se poser des questions : Une enquête, oui ou non ? Et si oui de quelle nature ???
Il semblerait que dans un premier temps, suite à une réunion qui s’est tenue le 24 septembre dernier en présence de différents élus, le sous-préfet aurait indiqué qu’il n’y aurait pas d’enquête épidémiologique. Cette annonce semblait fermer la porte à la mise en œuvre d’investigations poussées (au niveau notamment de la qualité de l’air, de l’eau, des sols …) permettant de croiser des données précises avec les constats déjà effectués (surmortalité, taux anormalement élevés de certaines maladies et cancers). Visiblement certains élus (sénateur, députée de la 8ème circonscription de St Nazaire, maire de St Nazaire) avaient entamé des actions à l’issue de cette réunion.
Lire à ce sujet l'article paru dans la presse le 08 octobre « surmortalité par cancer, la grande étude refusée »
Vendredi 9 octobre, le sous-préfet organisait une nouvelle rencontre « Réunion stratégie territoriale santé publique - territoire CARENE ». Elle réunissait l’ensemble des acteurs pouvant être partie prenante sur le sujet. L’ADZRP y était présente. L’annonce y a été faite de la mise en œuvre d’une « Étude de Zone ». Ce genre d’étude a déjà été mené sur d’autres régions industrielles. Un « Comité d’Orientation Stratégique » regroupera les différents acteurs, parmi lesquels les représentants d’associations. Cette étude est pour nous une avancée. Elle est le signe que nos interpellations concernant la santé des habitants commencent à être entendues. Il faut maintenant s’assurer qu’elle sera mise en œuvre en prenant en compte tous les éléments nécessaires. Pour être efficace, elle va prendre du temps, peut-être 2 à 3 ans avec des points d’étapes.
Cette « Étude de Zone » pourra mener à l’organisation d’une étude épidémiologique selon les résultats obtenus.
Lire le compte-rendu de la réunion du 09 octobre
Lire à ce sujet l'article paru dans la presse le 10 octobre
En savoir plus sur « L’Étude de Zone » : Guide INERIS sur l'Etude de Zone
SEPTEMBRE 2020
16 SEPTEMBRE 2020 : Journée nationale de la qualité de l'air ...
A l’occasion de la journée de l’air, ATMO France publie son rapport annuel sur la qualité de l’air extérieur : Accéder au rapport
Pour compléter cette lecture, une analyse : https://pollution.ott.fr/2020/09/17/bilan-annuel-de-lair-exterieur-2019-par-atmo-france/
L'air extérieur a un impact sur l'air intérieur et cela jusque dans les salles de classes ! En janvier 2020, l'ADEME a publié un rapport "concernant les transferts de pollution de l'air extérieur vers l'air intérieur dans certains établissements scolaires de Saint-Nazaire. Accéder au rapport
Pour compléter cette lecture, une analyse : https://pollution.ott.fr/2020/08/26/pollution-de-lair-dans-les-ecoles-paul-bert-et-ernest-renan/
08 SEPTEMBRE 2020 : Pollution de l'air - Un nouveau rapport de l'Agence Européenne de l'Environnement vient confirmer nos inquiétudes et renforcer nos revendications !
L’Agence Européenne de l’environnement (AEE) lance un signal d’alerte, dans un rapport publié ce mardi, sur la dégradation de l’environnement. La pollution de l’air demeure le premier facteur de mortalité chez les Européens.
Il est urgent que les autorités locales se donnent les moyens de mesurer réellement les polluants auxquels sont exposés les habitants de la CARENE (voir article ci-dessous) et que le lien soit fait avec leur état de santé !
Lire l'article paru dans le Ouest France du 08 septembre 2020
07 SEPTEMBRE 2020 : Pollution - Enquête épidémiologique : la LDH de Saint-Nazaire questionne !
Dans un courrier adressé aux autorités (Préfecture, agglomération, Agences de l'Environnement et de la Santé, Air Pays de la Loire), la LDH de Saint-Nazaire demande des moyens supplémentaires pour mesurer la pollution de l'air et son impact sur la santé des habitants.
Lire également l'article paru dans le Ouest France du 07 septembre 2020
JUILLET 2020
29 JUILLET 2020 : Les PM2.5 enfin prises en compte dans la surveillance de la qualité de l'air !
Le nouvel indice de la qualité de l'air était prévu pour début 2020 ... L'arrêté signé ce mercredi 29 juillet abroge celui de ... 2004 ! Il prendra enfin en compte les PM2.5 !
Les particules sont particulièrement dangereuses pour la santé car elles sont tellement fines qu’elles peuvent aisément pénétrer au plus profond de nos voies respiratoires. L’inhalation de ce type de particules se traduit en premier lieu par des bronchites chroniques et de l’asthme mais leur impact sur la santé va bien au-delà. Selon un rapport du programme Clean For Europe, elles réduisent l’espérance de vie et sont responsables de 48 000 décès en France chaque année.
Concernant les PM2.5, il n’existe aujourd’hui aucune réglementation en France bien qu’elles soient plus petites et donc plus dangereuses pour la santé que les PM10 ( Objectif de qualité PM10 : 30 µg/m3 en moyenne annuelle).
L’union européenne a fixé son objectif de qualité à 20μg/m3 en moyenne sur l’année. L’OMS recommande, quant à elle, une valeur de 10 μg/m3.
Lire l'article paru sur France Inter
Lire l'article paru sur Actu-environnement
Sur le secteur de la CARENE, les rapports d'Air Pays de la Loire mettent nettement en évidence l'origine des particules fines. La part prépondérante de l'industrie associée à celle de la production/distribution de l'énergie dans ces émissions dangereuses pour la santé apparaît clairement :
10 JUILLET 2020 : Lutte contre la pollution - Condamnation de l'Etat
Le Conseil d'État ordonne au Gouvernement de prendre des mesures pour réduire la pollution de l'air dans huit zones. À défaut, il devra payer 10 millions d'euros par semestre de retard. Lire l'article par sur Actu-environnement
03 JUILLET 2020 : L'Etat pourrait payer cher son "manque d'entrain" à lutter contre la pollution de l'air
Dans son arrêt pris il y a tout juste trois ans, le Conseil d'Etat avait enjoint au premier ministre, Edouard Philippe, et au ministre de la transition écologique et solidaire (alors Nicolas Hulot) de prendre, « dans le délai le plus court possible », toutes les mesures nécessaires pour ramener les concentrations en dioxyde d’azote (NO2) et en particules fines PM10 (de diamètre inférieur à 10 micromètres) en dessous des valeurs limites réglementaires (40 µg/m³ en moyenne annuelle) sur l’ensemble du territoire.
Lire l'article paru ce jour sur Médiapart à ce sujet
LES PICS DE POLLUTION PESENT BEAUCOUP MOINS SUR LA SANTE QUE L'EXPOSITION CHRONIQUE !
Santé publique France a mené une étude dans 17 villes en France, de 2007 à 2010, afin de calculer la part des pics de pollution dans les effets sur la santé. Les résultats confirment les travaux de surveillance menés jusqu’à présent : c’est l’exposition à la pollution, quotidienne et dans la durée qui a l’impact le plus important sur la santé, les pics de pollution ayant un effet marginal.
MARS 2020
14 MARS 2020 : Quand le Ministère de la Transition écologique et solidaire contribue à la dégradation de l'air ...
Feu vert judiciaire pour le Chrome de Méan ... Lire l'article paru dans Ouest France le 12 mars 2020
10 MARS 2020 : COMMENT faire la ville où il fait bon vivre ET RESPIRER ?
C'est la question posée ce jour par un article du journal Ouest France concernant la ville de Saint-Nazaire mais qui pourrait être posée pour l'ensemble des villes de la CARENE !
Le risque accru de maladies graves qui frappe de plein fouet les habitants de la CARENE ne fait plus débat : voir ledocument intitulé Cartographie du risque cancer sur la zone de la CARENE (paru en mai 2019) ou le rapport sur La Santé des Habitants de la CARENE (paru en septembre 2019).
Par contre, faire reconnaître l'implication des rejets industriels dans ces constats est un combat quotidien pour les associations de riverains.
Peut-être, cette nouvelle étude publiée le 03 mars dernier dans la revue "Cardiovascular Research", et dont beaucoup de média se sont fait l'écho, permettra -t-elle de regarder du bon côté ?
Lire l'article du 03 mars 2020 paru dans le Huffingtonpost
Lire l'article paru le 03 mars dans le Figaro
19 JANVIER 2020 : L'association Vivre à Méan Penhoët (VAMP) poursuit son combat contre l'utilisation du chrome VI classé comme cancérogène, mutagène et reprotoxique.
2019
11 DECEMBRE 2019 :
Surmortalité dans les Pays de la Loire : les rejets des industries en cause ?
Lire: LCI pollution Charlotte Anglade 11/12/2019
Lire le rapport : La Santé des Habitants de la CARENE (paru en septembre 2019)
NOVEMBRE 2019
27 NOVEMBRE 2019:
QUALITE DE L'AIR.
Trois associations (GRON - St NAZAIRE secteur Méan Penhoët - DONGES)
ont porté devant l'opinion publique, les élus locaux et ceux de la CARENE
le mauvais état sanitaire de notre région.
Elles portent l'exigence d'une étude épidémiologique à organiser dans les plus rapides délais.
Ensemble, elles se sont adressées au Préfet de Loire Atlantique et ont sollicité une audience.
C'est le sous Préfet de St Nazaire qui est chargé de les rencontrer le mardi 10 décembre à 17h 30.
OCTOBRE 2019
21 OCTOBRE 2019:
Les trois associations de défense des riverains (VAMP - St Nazaire, GRON - Montoir de Bretagne, ADZRP - Donges) ne peuvent, ni ne veulent se contenter de déclarations d'intention.
Elles adressent un nouveau courrier à la CARENE,
au PREFET de Loire Atlantique.
Elles sollicitent également
David CORMAND,
député européen EELV.
Lire: 2019 David CORMAND 11/10/2019
2019 air courrier carene oct 2019
2019 air courrier préfet oct 2019
16 OCTOBRE 2019:
Des Riverains enquêtent pour rechercher les sources d'odeurs.
Lire: Le moulin source odeurs 17/10/2019
18 SEPTEMBRE 2019:
Députée et Associations veulent des actes.
Le maire de St Nazaire veut une conférence territoriale.
Lire: Le maire de Saint Nazaire veut une conférence territoriale
11 SEPTEMBRE 2019 et suivants:
Les médias s'intéressent au sujet et informent l'opinion publique.
La presse écrite locale et nationale, les radios, les télévisions rapportent
"la situation sanitaire défavorable sur le territoire de la CARENE".
Ouest France, Presse Océan, Le Monde, Les Echos, CNews, BFM, FR3, France 2....
Quelques exemples:
OF 12/09/2019
Les Echos 13/09/2019
11 SEPTEMBRE 2019 :
Communiqué de presse des associations.
Lire: Communique presse post 10/09/2019
10 SEPTEMBRE 2019 :
Déclaration Commune aux trois associations de défense des riverains.
Lire: Réunion 10/09/19 déclaration commune
Les Habitants ont le droit à la vérité...
Le 10 septembre prochain, suite aux différentes mobilisations des trois associations (GRON, MEAN PENHOÊT, DONGES) et à leur demande d'une étude épidémiologique, le sous-Préfet de St NAZAIRE organise une réunion d'information regroupant les industriels, les associations de défense des riverains et des élu(e)s. Dans son courrier adressé aux différents participants, il précise: "le territoire de la CARENE présente une situation sanitaire défavorable au regard de la population nationale". Aveu courageux qu'il convient dès à présent de corriger.
Pour information vous trouverez joint l'article paru ce jour dans la presse locale
04/09/2019 article O.F. une surmortalite liée au cancer à St Nazaire
21 JUILLET 2019 :
Un Dimanche Noir....
TOTAL aura offert ce 21 juillet un sinistre dimanche aux Dongeoises et Dongeois. Après les nuisances auditives répétées pendant plusieurs jours dès l’aurore, ce sont les torchères qui ont vomi pendant de longues heures tout au long de la journée leurs épaisses fumées noires.
Ces émergences à la torche contiennent du dioxyde de soufre, du dioxyde d’azote et rejettent également dans l’atmosphère des poussières fines, des composés organiques volatils dont le benzène produit cancérigène avéré . Tous ces polluants affectent la santé de chacun des habitants, jeunes et moins jeunes aggravant encore la pollution de l’air.
L’industriel avait prévenu (difficile de cacher un tel « spectacle » ). Comme à l’accoutumé, il affirmait que les poussières rejetées n’étaient pas classifiées à risque ni pour l’homme, ni pour l’environnement.
La demande d’étude épidémiologique est plus que jamais d’actualité.
8 MAI 2019 :
ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE
Les trois associations de défense des riverains
(Gron - Méan Penhoët - Donges)
demandent à rencontrer le Préfet de Loire Atlantique.
Lire : Demande audience Préfet lettre 06/05/19
2 MAI 2019 :
Etude épidémiologique: L'ADZRP sollicite l'engagement de la municipalité.
Depuis 2013, notre association sollicite une étude épidémiologique afin de connaître les différents polluants rejetés dans l’atmosphère par les industries, leurs conséquences sur la santé humaine, les mesures prises pour endiguer la pollution atmosphérique industrielle.
Trois associations de défense des riverains (Vivre à Méan-Penhoët, Association des habitants de Gron, ADZRP) confrontées à des nuisances comparables ont décidé d’agir ensemble et d’intervenir conjointement en direction de plusieurs instances en capacité d’intervenir sur le fait exposé. Elles soumettent également à la population le texte-pétition joint à cet envoi intitulé «la pollution est la mal du siècle ». Ce texte est approuvé à ce jour par plus de 2000 citoyens. Nombreuses et nombreux sont celles et ceux qui reconnaissent l’opportunité de cette initiative et sa justesse.
Pour votre part, vous avez à plusieurs reprises exprimé votre exaspération face aux multiples pics de pollution, aux rejets polluants dans l’atmosphère, aux accidents répétés au sein du site industriel Total.
Enfin est-il utile de rappeler que le projet HORIZON prévoit d'augmenter de 60 kt/an les rejets de CO2 (en plus des rejets nouveaux d'ammoniac et l'augmentation des rejets de poussières fines) ?.
Dans notre courrier en date du 26 octobre, nous alertions l’ensemble des conseillers municipaux sur l’ampleur de la pollution atmosphérique et ses conséquences désastreuses sur la santé humaine.
Aujourd’hui, nous souhaitons que la commune par le voix de son Maire et/ou de son Conseil Municipal puisse s’associer à l’action engagée par les 3 associations demandant la mise en place urgente d’une étude épidémiologique sur notre secteur géographique.
Nous sommes persuadés de l’intérêt que vous porterez à notre démarche qui vise à améliorer la santé des hommes, des femmes, des enfants installés sur notre commune et au-delà.
courrier adressé le 1er mai 2019
AVRIL 2019
27 AVRIL 2019 :
La délégation VAMP-GRON-ADZRP a été reçue le 24 avril par les vice-présidents de la CARENE chargés de la Transition écologique et énergétique.
Elle demande une étude épidémiologique afin de déterminer la nature des polluants industriels rejetés dans l'atmosphère, leurs conséquences sur la santé humaine et les mesures prises pour endiguer la pollution atmosphérique.
Texte du communiqué adressé aux médias:
ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE : L’URGENCE N’EST PAS RELATIVE !
Le 24 avril 2019, nos trois associations ont été reçues par Pascale Hameau et Claude Aufort, tous deux vice-présidents de la CARENE, chargés de la Transition écologique et énergétique. Ils étaient accompagnés de membres des services techniques en charge du PCAET.
L’inquiétude légitime et les demandes de la population exprimées à travers notre pétition semblent avoir été entendues par les élus de la CARENE qui déclarent «être convaincus d’un vrai sujet de préoccupation». Pour autant, le processus visant à identifier la nature des polluants, leurs causes et conséquences, à réduire les effets de la pollution atmosphérique que nous subissons n’est encore qu’à l’état embryonnaire. Si l’intervention citoyenne sensibilise nos élus, il semble que l’urgence à agir nécessitera un courage politique indéfectible de tous les acteurs.
Les représentants de la CARENE ont rappelé que la décision d’une étude épidémiologique et sanitaire ne relevait pas de ses compétences, mais de la responsabilité du Préfet. Néanmoins, ils se sont rapprochés de l’Alliance des collectivités françaises pour la qualité de l'air afin d’échanger avec d’autres agglomérations concernées par les rejets polluants.
Nous avons insisté pour une prise en compte de la réalité industrielle de notre territoire, responsable de rejets polluants extrêmement préoccupants pour la santé humaine, tels les particules ultrafines PM 0.1 et les Chromes VI, qui ne semblent actuellement pas retenus pour les études à venir.
Nos trois associations restent vigilantes et attentives aux décisions qui seront prises et elles rencontreront une nouvelle fois les vice-présidents de la CARENE au début de l’été pour mesurer les avancées.
ADZRP, Association des habitants du village de Gron, VAMP
le 26 avril 2019
15 AVRIL 2019 :
FUITE ACIDE SULFURIQUE au sein de la raffinerie Total
entre le 24 et 26 novembre :
Rappel et avis du Bureau d'Analyse des Risques et Pollutions Industriels
LIRE: Fuite H2SO4 24 novembre 2019 barpi 16/04/2019
2 AVRIL 2019 :
URGENT: UNE ETUDE SUR LA QUALITE DE L'AIR.
L'air que nous respirons est-il de bonne qualité ? Autour de St-Nazaire, un secteur présente des taux de pollution importants. Des associations de riverains ont lancé une pétition afin d'obtenir une étude épidémiologique et sanitaire.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/saint-nazaire/saint-nazaire-petition-demander-etude-qualite-air-1648988.html
29 MARS 2019 :
POUR LA MISE EN OEUVRE D'UNE ETUDE EPIDEMIOLOGIQUE.
Les Associations de défense des riverains (Montoir, Méan Penhoët, Donges)
se sont adressées individuellement à chaque élu(e) communautaire
avant la réunion du 26 mars 2019.
Dans leur courrier, elles rappelaient que depuis 2013, la CARENE dispose d'un Plan Climat Energie Territorial (PCET), qu'avec son Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET), elle précise souhaiter intégrer la dimension qualité de l'air et renforcer le volet dédié à l'adaptation au changement climatique.
Dans le même temps, les trois associations informaient les membres de la CARENE qu'elles soumettaient à l'opinion publique un texte-pétition réclamant cette démarche visant à connaître les différents polluants rejetés dans l'atmosphère.
Si la CARENE n'a pas fermé la porte, les associations ne peuvent se contenter de déclarations d'intention. Il est urgent de mettre l'ensemble des parties prenantes autour d'une table.
Une rencontre pourrait se tenir fin avril. A suivre ....
23 MARS 2019 :
POLLUTION ATMOSPHERIQUE.
Les Associations VAMP (Montoir de Bretagne), ADZRP (Donges)
interpellent les élu(e)s communautaires
avant la réunion du Conseil Communautaire du mardi 26 mars.
Lire: Conseil communautaire adresse adzrp-vamp 23/03/2019
12 MARS 2019 :
LA POLLUTION DE L’AIR TUE
DEUX FOIS PLUS QUE CE QUI ÉTAIT ESTIME.
Fléau de notre époque, la pollution atmosphérique pourrait être deux fois plus meurtrière que les chiffres avancés jusque là. C’est le constat alarmant dressé par une étude menée par des chercheurs allemands publiée le 12 mars 2019 dans la revue « European Heart journal ».
L’excès de mortalité imputable à la pollution de l’air ambiant serait en fait de 790 000 mort en 2015 dont 67 000 en France, une estimation nettement supérieure à celle de l’Agence Européenne de l’Environnement (AEE) qui jugeait que cette pollution (particules fines - P M2,5, dioxyde d’azote - NO2 et ozone - 03) était responsable en 2015 de 518 000 décès prématurés.
En réponse à ce constat très inquiétant, les auteurs de l’étude jugent « urgent » de baisser les seuils d’exposition aux particules fines. La limite annuelle moyenne pour les PM2,5 fixée par l’Union Européenne est de 25 microgrammes par mètre cube, soit 2,5 fois plus que les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (10 microgramme/m³).
Auparavant, on se concentrait sur les risques de cancer et sur les effets immédiats sur l’appareil respiratoire. Selon cette étude, entre 40 et 80 % de ces décès prématurés seraient dus à des maladies cardiovasculaires.
Rappelons, pour mémoire, le diagnostic santé 2017 établi par l’Agence Régionale de Santé sur la région Ouest Loire Atlantique (St Nazaire, La Baule, Presqu’île de Guérande) qui montrait que la situation était inquiétante, de nombreux indicateurs dépassaient les seuils moyens régionaux ou nationaux.
Au regard de ces différentes informations, la demande d’une étude épidémiologique formulée par les associations (Vivre à Méan Penhoêt et Association Dongeoise des Zones à Risques et du PPRT) prend toute sa valeur.
Un texte intitulé « la pollution est le mal du siècle » est proposé à la signature de chacune et chacun. Il peut-être retourné soit par mail, soit déposé dans la boite aux lettres de l’ADZRP, Maison des Associations, Rue des Métairies.
Texte : Pétition enquête sanitaire 2019
8 MARS 2019 :
91 JOURNÉES D’ODEURS DE FORTE INTENSITÉ PAR AN !
De plus en plus nombreux sont les riverains à constater et dénoncer une fréquence et une intensité plus fortes des nuisances olfactives sur la commune. Ces odeurs soufrées, irritantes, nauséabondes ressenties essentiellement sur Donges dépassent ses propres frontières. Elles en donnent une image dégradante.
Air Pays de Loire dans son programme de suivi des odeurs vient de publier les résultats de la 3ème année de veille olfactive.
Les résultats sont sans appel. Ils confirment, comme le ressentent les riverains, une aggravation de la situation et une augmentation du nombre de journées odorantes.
Ainsi entre mai 2017 et avril 2018, 216 journées ont été concernées par des perceptions odorantes soit près de 60 % d’une année.
Sur ce nombre de jours, 91 ont fait l’objet de perceptions d’odeurs de forte intensité soit plus que lors des précédentes périodes (36 jours en 1ère période, 49 en seconde). Des données qui démontrent que la situation, loin de s améliorer, se dégrade avec pour conséquence une altération de la qualité de vie des habitants.
Ces odeurs de forte intensité liées aux installations industrielles sont pour 54 % d’entre-elles dues à la raffinerie Total , 39 % à Cargill, 7 % à d’autres sources.
Quelles suites après ces constats ?
Déclarer comme l’assure le directeur de la raffinerie que « la méthode des nez nous permet de progresser », alors que les résultats sont plus mauvais aujourd’hui qu’hier n’est que mépris vis à vis des habitants.
Les élus, les services de l’État, les décideurs doivent être être plus exigeants et plus contraignants vis à vis de ceux qui « enfument » l’opinion.
Quant aux riverains, ils doivent continuer à signaler systématiquement chaque dysfonctionnement.
6 MARS 2019 :
NOUVEAU PIC DE POLLUTION A LA RAFFINERIE DE DONGES !
2018
Dans un courrier en date du 8 octobre, l'ADZRP s'adresse à la Préfète de Loire Atlantique.
Les citoyens ont le droit de savoir.
lire: 2018 suite accident TOTAL du 07/10/2018
OCTOBRE 2018
7 OCTOBRE 2018 :
Dimanche 7 octobre, 11 h, plusieurs boules de feu surmontées d'un épais panache de fumées noires s'élèvent au coeur du site industriel suscitant une forte inquiétude des Dongeoise et Dongeois.
4 OCTOBRE 2018 :
"LA POLLUTION ATMOSPHERIQUE: un mal à prendre au sérieux !
De nombreux rapports et témoignages révélès en France et en Europe alertent l'opinion sur les effets nocifs de la pollution industrielle.
Si la pollution atmosphérique fait sentir ses effets sur l'Homme au quotidien lors des pics de pollution, l'exposition prolongée à de faibles doses constitue un danger plus grave pour la santé humaine.
Le diagnostic santé 2017 réalisé par l'Agence Régionale de la Santé et l'Observatoire Régional de Santé a montré que les données sanitaires sur les l'ensemble des communes de la région nazairienne étaient inquiétantes.
L'ADZRP s'est adressée à l'ARS et à Air Pays de la Loire.
lire courriers:
2018 Air Pays de la Loire pollution courrier 01/10/2018
2018 Air Pays de la Loire pollution courrier 11/02/018
2 mai 2018 :
Communiqué aux médias le 1er mai 2018
LES RIVERAINS ONT LE DROIT DE SAVOIR !
Message à la DREAL : 30042018 – 23 h.
Le 21 avril dernier, une fuite de gaz ressentie en Loire Atlantique et dans le Morbihan a incommodé de nombreux habitants.
Les explications données par les responsables du site industriel mettant en cause un mauvais fonctionnement d’une « soupape de sécurité » normalement doublée d’une soupape de réserve en cas d’incident n’ont guère convaincu, l’industriel ayant déjà expliqué qu’en cas de surpression, les torches servaient d’exutoires.
Suite à ce nouveau dysfonctionnement et à ses conséquences, les services de la DREAL ont enquêté dès le 25 avril sur le site industriel.
Il est juste que les citoyens inquiets par l’ampleur de ces émanations soient informés. Ils sont aujourd’hui dans l’attente d’explications.
Ils souhaitent connaître l’installation concernée par cet incident et la nature des produits répandus dans l’atmosphère.
Par ailleurs, ils s’étonnent qu’un dysfonctionnement identifié à 4 heures du matin n’ait été résolu qu’à 9h 25, soit plus de 5 heures après son apparition ? Si ce délai peut se comprendre pour l’extinction d‘un feu, il est tout à fait disproportionné pour résoudre une fuite sur une unité de production.
Ces demandes sont d’autant plus justifiées qu’un nouveau dysfonctionnement vient d’être signalé ce lundi 30 avril par l’industriel.
Les installations sont-elles réellement fiables et sécurisées ?
Photo prise le 1er mai (matin)
AVRIL 2018
25 avril 2018 :
PERSONNES VICTIMES DES EFFETS INCOMMODANTS.
FUITE DE GAZ - ODEURS
Le samedi 21 avril 2018, d'importants dégagements de gaz malodorants et irritants se sont échappés de la raffinerie TOTAL de Donges.
De nombreuses personnes, à Donges mais dans plusieurs autres communes de Loire Atlantique et du Morbihan ont été incommodées par les odeurs pestilentielles dégagées.
Pour l'heure, nous ne connaissons ni la quantité de gaz dégagée, ni sa nature, ni les causes du dysfonctionnement de la "soupape de sécurité".
Les personnes ayant été incommodées peuvent se signaler auprès de :
l'ARS ars44-alerte@ars.sante.fr
ou
sur le site: www.signalement-santé.gouv.fr
Adressez-nous le double de votre message.
Nous vous remercions.
21 avril 2018 :
ECHAPPEMENT DE GAZ A LA RAFFINERIE DE DONGES.
DE FORTES ODEURS EN LOIRE ATLANTIQUE, dans le MORBIHAN.
LES CITOYENS DANS L’ATTENTE D’ EXPLICATIONS
Si les odeurs de gaz perçues le samedi 21 avril 2018 dans les départements de Loire Atlantique, du Morbihan et de la Vendée continuent d’inquiéter la population, il est important que les causes de la fuite lui soient rapidement communiquées.
Les explications données à ce jour par les responsables du site industriel mettant en cause un mauvais fonctionnement d’une « soupape de sécurité » normalement doublée d’une soupape de réserve en cas d’incident ne sont guère convaincantes, l’industriel ayant déjà expliqué qu’en cas de surpression, les torches servaient d’exutoires.
Il sera aussi intéressant de connaître l’installation concernée par cet incident et d’identifier le produit répandu dans l’atmosphère. Pour l’heure, le responsable de la raffinerie cite trois types d’émanations gazeuses possibles (essence légère, butane, propane). Peut-être en existe-t-il d’autres ! Ethane ou méthane ? Gaz beaucoup plus volatiles pouvant se propager beaucoup plus loin..
Comment expliquer par ailleurs qu’un dysfonctionnement identifié à 4 heures du matin ne soit résolu qu’à 9h 25, soit plus de 4 heures après son apparition ? Si ce délai peut se comprendre pour l’extinction d‘un feu, il est tout à fait disproportionné pour résoudre une fuite sur une unité de production.
L’industriel, la DREAL ne peuvent ignorer l’exigence de vérité formulée par les riverains soumis malgré eux à de multiples nuisances.
FEVRIER 2018
21 février 2018 :
Excédés par les odeurs nauséabondes plus nombreuses, plus intenses et persistantes, plusieurs dizaines de Dongeoises et Dongeois déterminés se sont rassemblées le 21 février 2018 devant la raffinerie Total responsable des émanations malodorantes.
Lire:
Article O. F. rassemblement 21/02/2018
Odeurs Donges rassemblement 21/02/2018 Echo Presqu île 23/02/2018
Odeurs Donges article 0.F. 22/02/2018 rassemblement devant raffinerie
16 février 2018 :
L'enquête publiée le 16 février 2018 dans l'édition du journal Ouest France a été réalisée à partir du "Diagnostic Santé 2017" établi par l'Agence Régionale de Santé et l'Observatoire Régional de la santé en Loire Atlantique.
Elle fait état de chiffres inquiétants sur l'état de santé des habitants du bassin de St Nazaire.
Lire : Ars enquête sur état de santé habitants bassin St-Nazaire diagnostic 2017 graphique
9 février 2018 :
L'ADZRP tenait son assemblée générale ce vendredi 9 février. La pollution de l'air a été au centre des discussions.
Après les fortes odeurs en décembre et janvier,
LES DONGEOIS ONT DROIT AU DIOXYDE DE SOUFRE EN FEVRIER !
Lire: Pollution SO2 09/02/2018
JANVIER 2018
28 Janvier 2018: POLLUTION DE L'AIR: le commissaire à l'environnement tape du poing sur la table à Bruxelles.
"Nous ne pouvons plus attendre." Tel est le message que le commissaire européen à
l'environnement Karmenu Vella a fait passer ce mardi 30 janvier aux ministres de neuf Etats membres convoqués à Bruxelles en raison d'une pollution atmosphérique persistante.
Lire : "Pollution de l'air" le commissaire à l'environnement tape du poing sur la table 30/01/2018
24 Janvier 2018 : LES DONGEOIS EXCEDES PAR LES ODEURS.
Depuis plusieurs semaines, les habitants de la commune subissent les nuisances olfactives de la raffinerie Total. Ils ont été nombreux à déposer plainte auprès de l'industriel et la DREAL.
Un journal local titrait dans son édition du 27 janvier: "Total a réglé le problème".
Trop grande précipitation ! Le même jour, de nouvelles plaintes étaient adressées à l'industriel qui va devoir modifier son discours.
LIRE Odeurs Donges 24/01/2018
2017
20 novembre 2017 : La pollution: on en parle. Des particules hors des radars de contrôle !
Dominique ROBIEN, directeur d'AIR PACA reconnaît que le standard de 10 ou 2,5 microns qui correspond à la taille des particules qui vont plus ou moins pénétrer dans le poumon est un standard qui est un peu grossier encore.
Pour mieux protéger la population, il faudrait passer à moins de un micron...
Lire: Cancers multiples maladies rares diabète chez les enfants que se passe t il dans le golfe de Fos ?
jeudi 12 juillet 2017
Le Conseil d’Etat juge que le dépassement des valeurs limites en particules et en oxydes d’azote viole la directive sur la qualité de l’air. Il enjoint le Gouvernement d’adopter au plus vite des plans permettant d’y remédier.
Pollution de l'air la responsabilité de l'Etat reconnue par une décision de justice historique12072017
Date de dernière mise à jour : 22/02/2024